
C’est l’idée que chacun se fait de lui, qui rend le luxe si attirant et si aimable et en définitive subjectif. Il est le plus souvent rattaché à nos cinq sens : le goût, l’ouïe, l’odorat, la vue et enfin le toucher avec sa connotation sensuelle. Il est lié aux trois libidos que Pascal a si bien définies dans ses pensées : dominandi, celle du pouvoir et de la domination ; capiendi, celle de l’appréhension des objets pour soi ou pour les autres ; sentiendi, celle des sens et de la sensualité.